Il y a ceux qui sont pour et ceux qui sont contre, et cette polémique dure depuis des années.

Les personnes « pour » vous diront qu’il est ridicule de passer dans la classe supérieure sans avoir acquis les connaissances suffisantes. Et celles qui sont « contre » estiment que le redoublement ne sert à rien : les élèves refont une année mais sans progresser pour autant.

Alors faut-il redoubler ou est-ce pénalisant ? Quels sont les cas où il est préférable de redoubler ? Pour qui est-il conseillé ? Comment transformer ce redoublement en réussite ?

Le débat a été relancé récemment avec l’inspecteur académique du Calvados. Pour lui le redoublement est inefficace et coûteux, il a «sanctionné» les collèges faisant trop redoubler en leur retirant des heures de cours à la rentrée et récompensé ceux faisant peu redoubler en leur accordant plus d’heures.

Selon Denis Meuret, universitaire spécialisé en sciences de l’éducation, le redoublement aggrave les choses. Des études ont été menées sur deux groupes d’élèves faibles de même niveau au CP. Le premier groupe a redoublé, le second non. Un an après, on a fait passer des tests aux élèves : ceux en fin de CE1 en savaient plus que ceux en fin de CP. L’idée qu’il vaut mieux faire redoubler car ces élèves faibles n’auraient pas pu suivre dans la classe supérieure est donc fausse.

Au niveau international, les recherches de Nathalie Mons maître de conférences à l'université de Grenoble, spécialiste de l'analyse internationale des politiques éducatives, montrent que les systèmes éducatifs où l’on redouble le moins sont ceux qui ont les meilleurs résultats dans les études Pisa (2) de l’OCDE.

Alors pourquoi parle –t-on encore de redoublement ?

Dans certaines situations précises, le redoublement permet de reprendre les choses en main, de se remettre à niveau. Il faut savoir que son impact psychologique au lycée n’est pas aussi nocif qu’au primaire.

Le redoublement peut être utile pour l’élève (mais attention on parle ici des « grands » donc des lycéens) :

-          s’il a été perturbé par un événement personnel

-          s’il a des capacités, mais n’a pas travaillé

-          s’il vise absolument une orientation précise

-          s’il manque de maturité

Alors pour ou contre le redoublement ??!

Etes-vous prêt à le relever ?! Pas si évident, quand on parle d’orientation on parle indéniablement de choix de carrière professionnelle. Et quel enjeu pour les jeunes qui se trouvent face à de multiples possibilités ?!

Aujourd’hui le problème n’est pas un manque d’informations mais bien un surplus d’infos. Comment faire le tri ? Comment faire son choix ? Quels sont les paramètres à prendre en compte ? Les jeunes ne savent pas où donner de la tête ni que choisir : entre la voie que les parents aimeraient, celle que les enseignants conseillent sans oublier de tenir compte du marché du travail…

Dure réalité, d’autant qu’elle signifie aussi qu’il faut grandir, mettre de côté sa part d’insouciance avancer vers ce monde adulte qui peut faire peur !!!

Il est très important d’éviter les pièges, de bien se connaitre, d’être conscient de ses capacités, de se prendre en main, ne pas céder à la facilité, ne pas se faire influencer en choisissant la même voie que son copain juste pour ne pas de retrouver seul, mais bien choisir SON orientation, il faut que ce soit un choix personnel !!!

 http://www.cahier-de-famille.com/orientation-scolaire-bordeaux.php

Je ne sais pas vous mais pour ma part, j’aime la papeterie, les couleurs, les associations de polices, de matières…

Marie a répondu à mon appel pour la rubrique « elles osent » et j’ai alors découvert son univers ….

◊ Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je suis une jeune Maman de 25 ans, anciennement expatriée en Irlande, et ex-chef de rang. J'ai décidé de me mettre à mon compte après ma grossesse puisqu'il n'était plus possible de retourner dans la restauration.

◊ Peux-tu nous décrire ton activité ?

A la base je suis webdesigner, infographiste. Je programme car c'est plus simple pour le client de ne faire appel qu'à une seule personne. Mais les lignes de codes n'assouvissent pas ma passion créative, c'est pour ça qu'en décembre j'ai décidé de mettre en place la Crafterie, un catalogue de faire-part naissance et mariage, papeterie artisanale et personnalisable.

◊ Comment  est venue l’idée de créer votre entreprise ?

Oups, j'ai déjà répondu ! Donc c'était parce que je voulais plus travailler soir et weekend avec un bébé, j'ai fait un tour en usine agro mais cela ne me convenait pas. Je faisais déjà des sites webs par passion, puis une amie qui a un magasin de vêtements m'a demandé un site web et c'était hors de question de travailler au noir alors j'ai pris le statut d’auto entrepreneur.

◊ Quel est ton parcours ?

Etudes de restauration (CAP, BEP, BAC PRO, FORMATION ANGLAIS) puis expat, puis bébé, puis Webdesigner autodidacte.

◊ Quelles sont les étapes de ta création ?

Euh, je ne sais pas ? J'ai juste fait ma demande de SIRET et j'ai démarré. Je n'ai pas eu d'achats particuliers à faire ou quoi que ce soit à mettre en place. Je bosse sur mon ordinateur.

◊ Quelles sont les difficultés rencontrées ? As-tu eu des périodes de doute ?

Difficultés à me faire connaître, manque de confiance en moi. J'ai douté quand les clients ne venaient pas à moi (forcément je ne faisais pas de pub !)

◊ Des conseils pour celles qui n’osent pas encore franchir le pas de la création ?

Si on n'est pas sûr que ça marche, commencer par le statut « auto entrepreneur » qui n'engage pas à grand chose. Et qui permet de commencer sans se ruiner en taxe. Ne pas se lancer dans un marché saturé à moins de proposer quelque chose d'un peu différent, sinon les risques de désillusion risquent d'être au rendez-vous. Etudier le marketing, demander des conseils à des pros, ou se gaver de conseils sur internet. En gros ne pas se lancer à l'aveugle.

◊ Confidence : heureuse d’avoir « osé » ?

Oui bien sûr. Et je serais encore plus heureuse quand je pourrais me payer un vrai salaire régulier. Car si mon compagnon ne travaillait pas, c'est clair que je n'aurais pas pu réaliser mon rêve !

Mes sites web :

iBa Design, création de sites web, cartes de visites etc : http://iba-design.fr

La Crafterie, création de faires part et papeterie : http://lacrafterie.fr

Mon blog Glam'Papeterie, tutoriaux, présentation de mes produits : http://lacrafterie.fr/blog-la-crafterie/

Merci Marie pour ta participation ; -)

Je constate que vous appréciez la rubrique « elles osent », alors pour votre plaisir je vous présente Cédrine et son petit bijou, Perlez  moi de vous :

http://perlezmoidevous.blogspot.com

Créatrice de bijoux, elle saura j’en suis sûre retenir votre attention.

◊ Présentez-vous en quelques mots ?

Je me prénomme Cédrine. Je suis une grande passionnée, active, perfectionniste, obstinée et exigeante. Je suis sérieuse mais sans trop me prendre au sérieux. J'ai beaucoup d'humour et un petit grain de folie. J’aime " me détacher du lot " sans pour autant être " décalée ". J’aime me sentir exclusive. Je suis Femme. Je suis Moi, tout simplement...

Après ces quelques mots sur moi, je vous présente « Perlez moi de vous... », ma marque de bijoux fantaisie que vous pourrez découvrir sur mon blog : http://perlezmoidevous.blogspot.com

◊ Décrivez votre activité ?

Création de bijoux fantaisie. Je créée mes collections en fonction de mes goûts, de ma personnalité, de mes envies et des tendances du moment. Des modèles qui se veulent glamours, et surtout avec des matières de qualités.

L'exclusivité d'un bijou pour se sentir exclusive :

Tous les modèles présentés sur mon blog sont des pièces uniques ou des prototypes.

Les prototypes sont imaginés en un nombre d'exemplaire définit par avance et de façon aléatoire. Les modèles définitifs seront ensuite confectionnés à la demande de mes clientes. Le bijou que vous recevrez est confectionné uniquement et spécialement pour vous.

Je créée également des modèles uniques et personnalisés en fonction des désirs de chacune. Une relation de confiance et d’échanges se lie alors entre nous afin de vous proposer un bijou à Votre image.

◊ Comment vous est venue l’idée de créer votre entreprise ?

Tout a commencé en voulant un bijou que j’ai imaginé mais que je n’ai pas trouvé lors d'interminables séances de shopping… Une envie de trouver un bijou qui me corresponde et que je ne retrouverai sur personne d'autre.

J’ai donc arpenté différents sites internet pour me familiariser avec les termes et les techniques de création de bijoux (un défi à relever).

Puis un jour, le moment de franchir le cap, de l’achat des matières et du matériel, et là, une révélation dès que j’ai poussé la porte de la boutique de perles ! Après une telle effervescence, est venu la création des premiers modèles. Les avis de mes proches m’ont permis de corriger les défauts de ces esquisses. Devant leur enthousiasme à la vue de mes modèles, j’ai décidé de me plonger plus assidument dans l’univers de la création de bijoux fantaisie.

Les demandes de confection de bijoux se sont accrues, plusieurs personnes m'ont demandé si j'avais une boutique, j'avais entendu parler du statut d'auto-entrepreneur, après avoir pris connaissance des risques : je me suis lancée.

◊ Quel est votre parcours ?

Je suis gestionnaire de ressources humaines et j'exerce, à titre secondaire, mon activité de création de bijoux fantaisie. J'ai des notions de gestion administrative et commerciale de part mon cursus scolaire. J'ai travaillé dans le domaine de la vente avant ma reconversion professionnelle dans les ressources humaines. J'ai gardé cette envie d'avoir ma propre boutique.

◊ Quelles sont les étapes de votre création ?

Très simplement. Tout est bien indiqué sur le site officiel des auto-entrepreneurs. Une fois que les réponses à mes questions ont été données. J'ai rempli le questionnaire et quelques jours après, le 1er octobre 2010, mon « entreprise individuelle » naissait. Ce fut simple car la vente de mes créations se fait, pour le moment, sur mon blog, donc pas de recherche de local de vente pour le moment ni de recherche de prêt financier.

◊ Quelles sont les difficultés rencontrées ? Avez-vous eu des périodes de doute ?

Bien entendu qu'il y a des périodes de doute, vais-je y arriver ? En ces temps de crise, c'est pas évident de se lancer dans la création d'entreprise surtout lorsque l'activité exercée n'est pas innovante.

Les difficultés sont l'aspect financier et la partie « publicité », ce n'est pas évident de se faire un nom et de se faire connaître ni même d'avancer les frais inhérent à l'achat de matières, de matériels, etc... Il faut être perspicace et motivé et surtout persévérer.

◊ Des conseils pour celles qui n’osent pas encore franchir le pas de la création ?

Le statut d'auto-entrepreneur est parfait pour se lancer dans l'aventure de la création d'entreprise, les risques sont moindres. Renseignez-vous bien et faites comme moi, jetez-vous à l'eau !

◊ Confidence : heureuse d’avoir « osé » ?

Oui, très heureuse d'avoir « osé ».

J'en retire une certaine « auto-satisfaction », je suis libre de faire ce que je veux. Le regard des gens change, c'est bête, mais c'est comme ça.

Même si je n'arrive pas, je pourrai dire que « j'ai essayé ». Mais je vous promets de faire en sorte d'y arriver ;o)

Merci Cédrine et belle réussite « précieuse ».

Les parents d'élèves et les syndicats réagissent à ce phénomène de plus en plus courant.

Partout en France, les familles inquiètes, se mobilisent pour dénoncer le nombre de journées de cours non assurées faute de remplaçants.

Des solutions sont improvisées pour prendre en charge les élèves sans professeur: permanence, répartition dans les autres classes... Ce phénomène touche aussi bien les élèves de maternelle,  élémentaire, collège que les élèves de terminale.

Et vous, êtes vous inquiets pour la scolarité de votre enfant?!!

Réagissez à ce billet !

Ca fait longtemps que je ne vous ai pas parlé d'une femme qui "ose".

Aujourd'hui je vais vous faire plonger dans l'univers créatif de Selly.

Selly est une jeune femme qui est à la fois maman, salariée et auto-entrepreuSe, elle se dévoile en répondant à quelques questions.

◊ Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m'appelle Selly, j'ai 31 ans. Je suis lyonnaise mais je me suis installée à Saint Quentin en Picardie, où j'ai trouvé l'homme de ma vie! Je suis l'heureuse maman de 2 enfants: Lyzéa 4 ans et Raphaël bientôt 2 ans. Je travaille à temps plein en tant que cadre dans l'immobilier et je suis depuis le 1er décembre 2010 auto-entrepreneur.

◊ Peux-tu nous décrire ton activité ?
Je crée au fil de mes envies: des sacs, des bijoux, des doudous, etc. Je réponds aussi à des commandes parfois pour préparer l'arrivée d'un bébé ou simplement pour un petit plaisir. J'utilise principalement des couleurs tendres et pastels. J'aspire à la douceur...

◊ Comment est venue l’idée de créer votre entreprise ?
J'ai commencé tout ça lors de ma deuxième grossesse, avec une envie de préparer l'arrivée de mon petit bonhomme. Après sa naissance, j'ai continué dans l'utile, mais aussi dans le futile... et au fil du temps, je me suis rendu-compte que mes créations plaisaient... au point d'être achetée!

◊ Quel est ton parcours ?
Avec un Bac S en poche, je suis partie faire mes études sur Nancy puis sur Barcelone pour devenir ingénieur en génie des matériaux. J'ai pas mal galéré pour trouver mon premier job. C'est là que j'ai attéri en Picardie et j'y suis finalement restée par amour!...

◊ Quelles sont les étapes de ta création ?
Je n'y suis pas allée par 4 chemins: j'ai d'abord testé le marché en essayant de vendre de façon officieuse, puis j'ai décidé de me déclarer auto-entrepreneur et d'attaquer les choses sérieuses!

◊ Quelles sont les difficultés rencontrées ? As-tu eu des périodes de doute ?
L'un de mes principaux dilemnes a été de concilier ma vie de salariée à celle de créatrice d'entreprise. Comment garder toute sa crédibilité au travail en laissant ensuite libre cours à son imagination le soir... Et finalement, tout se passe bien!! Mes collègues ont accepté cette "double vie" et parfois même me soutiennent!

◊ Des conseils pour celles qui n’osent pas encore franchir le pas de la création ?
Aujourd'hui, le statut d'auto-entrepreneur permet de franchir le cap à moindre risque. Et l'un de mes conseils favoris, c'est que ce ne doit être que du plaisir!

◊ Confidence : heureuse d’avoir « osé » ?
Oui! même si aujourd'hui, je n'ai pas assez de recul sur la survie de ma société, je suis heureuse d'avoir tenté le tout pour le tout! quoi qu'il arrive, je n'aurais pas de regret! En plus, aujourd'hui, je développe plusieurs points de vente qui me remplisse d'espoir!

Comme je sais que vous trépignez d’impatience de découvrir toutes les créations de Selly, je donne sans attendre le lien : http://selly.canalblog.com

Merci à toi Selly pour ta participation BRAVO et longue vie à

"Un Amour de Petite Chose"

L'actualité scolaire est dense en ce début d'année.

Un petit résumé rapide sans rentrer dans les détails :

- suppression de postes annoncées (16 000) les syndicats sont dans la rue.

- absentéisme scolaire: publication du décret permettant la suspension des allocations familiales.

- le ministre de l'Education Nationale Luc Chatel envisage l'apprentissage de l'anglais dès 3 ans.

- la question des rythmes scolaires: fini la semaine de 4 jours et raccourcir les grandes vacances divisées en zone.

- une prime de résultat pour les chefs d'établissement.

Je ne vous avais pas menti c'est riche en évènements.

Mais qu'en pensez-vous ????

Voilà aujourd'hui 20 janvier la procédure d'inscription dans le supérieur pour les élèves de terminale est ouverte !!!

Attention c'est loin d'être évident ! Que vous soyez élève ou parent vous pouvez vous sentir perdu et démuni devant les différentes étapes de la procédure.

L'important est de respecter les règles, de rester calme et de ne pas s'en inquiéter à la dernière minute.

La première phase débute donc aujourd'hui et se termine le 20 mars. Celle-ci consiste à saisir ses voeux.

1°) Créer son dossier sur le site.

2°) sélectionner les formations qui vous intéressent. Vous pouvez faire jusqu'à 36 choix, dont 12 maximum par type de filière.

exemple: 12 CPGE, 8 écoles d'ingénieurs, 5 DUT, 5 BTS et 6 L1.

Ce n'est pas parce que l'on peut faire 36 voeux que l'on doit faire 36 voeux. Il n'y a pas un nombre de voeux idéal, tout dépend de vos souhaits d'orientation et de votre niveau scolaire.

Un petit conseil néanmoins: pour les formations sélectives : prépas ou DUT, plus votre dossier est moyen , plus vous devrez faire de voeux pour augmenter vos chances d'être admis.

Voilà pour la première étape...

Si vous avez des questions, n'hésitez pas : http://www.cahier-de-famille.com/renseignement.php

Depuis hier les élèves de CM2 passent des évaluations en français et mathématiques. Evaluations contestées par les syndicats d'enseignants et de parents.

Mais alors comment sont présentés ces tests et à quoi servent-ils?

Ce sont des tests identiques pour tous les élèves qui comportent 60 questions en français et 40 en mathématiques. Dix grandes «compétences» sont mesurées: «lire», «écrire», «vocabulaire», «grammaire», «orthographe», «nombres», «calculs», «géométrie», «grandeurs et mesures», «organisation et gestion de données».

Cette semaine d'évaluations doit permettre d’évaluer le niveau des élèves, de repérer ceux en difficulté et de mettre en place un dispositif d'aide pour leur permettre une entrée au collège optimale.

Si ces évaluations sont aujourd'hui fortement critiquées c'est pour une histoire de calendrier, de mode de notation binaire et de risque de mettre en concurrence les écoles.

De plus, les évaluations sont disponibles sur internet,  des membres des fédérations de parents d'élèves ont distribué les sujets des évaluations devant les écoles. Du coup on peut se demander quels seront les véritables résultats?!!!

Quoiqu'il en soit, ils seront connus individuellement par les familles puis publiés sous formes de données statistiques nationales, par académie et département.

Le premier trimestre est terminé et le bulletin de votre enfant est décevant.

Une nouvelle année commence, les bonnes résolutions aussi, alors essayons de comprendre ce qui a fait que votre enfant n'a pas  réussit son trimestre.

Le travail à la maison:

Instaurez un rythme de travail. Quand votre enfant rentre du collège laissez le souffler, prendre son goûter tranquillement. Vous pouvez par exemple délimitez avec lui un créneau horaire pendant lequel il devra travailler chaque soir et s'y tenir. Ensuite n'hésitez pas à contrôler de temps à autre s'il a bien noté ses devoirs, peut être a-t-il aussi besoin de vous sentir prêt à l'aider, montrez-vous disponible.

Les leçons ne sont pas apprises:

Le temps passé à apprendre la leçon et un manque de méthode est bien souvent la cause. Expliquez lui que pour savoir une leçon il ne suffit pas de la lire 3 ou 4 fois. Il faut comprendre ce que l'on apprend et relire sa leçon sur plusieurs jours et non pas la veille du contrôle de connaissances. Rappelez lui qu'une bonne méthode pour retenir une leçon est de connaitre son titre et son plan. Vérifiez aussi si votre enfant à une mémoire plutôt visuelle ou auditive ?!

Il n'aime pas l'école:

Instaurez un dialogue avec lui, montrez lui que sa scolarité vous intéresse. Suivez de près son travail, apprenez le nom de ses professeurs, et ne soyez pas obnubilé par les notes. Notez le moindre progrès et félicitez-le (même s'il n'a pas atteint la moyenne). Autre chose évitez la comparaison avec les frères et soeurs. Fixez avec lui des objectifs cohérents, cela donnera un sens à sa présence à l'école.

L'importance du sommeil :

Les spécialistes sont formels le sommeil est essentiel au bien être de votre enfant. Veillez donc à ce que votre enfantse couche à heure régulière et faites en sorte qu'il n'ait pas dans sa chambre, ni télévision, ni console de jeux, ni ordinateur.

Et n'oubliez pas d'être positif et d'instaurer un climat de confiance !!!